Pour l’occasion, Cara Nelson, qui a œuvré pour le développement de la TIS au Canada depuis plus de 20 ans, a pu nous faire part de l’expérience canadienne qui ne peut être considérée que comme une réussite. Grâce à l’utilisation de cette technique sur le Carpocapse, les producteurs de pommes ont pu réduire de 96% l’utilisation des insecticides tout en faisant une économie de 65% pour la protection de leurs vergers. Le développement de cette technique en France est donc extrêmement prometteur tant pour la lutte contre le carpocapse sur pommier ou noyer que, à terme, contre Drosophila Suzukii.
Le CTIFL a annoncé vouloir devenir le leader européen de la TIS, ambition que nous ne pouvons que soutenir.