Du côté des entreprises de biocontrôle, elles ont insisté sur la nécessité de porter une définition du biocontrôle au niveau européen, après avoir précisé que la France était le premier Etat membre à avoir inscrit la définition dans la loi. Elles ont également souligné la nécessité de développer de nouvelles solutions pour l’ensemble des cultures autres que l’arboriculture, le maraichage et la viticulture, et cela sous réserve de simplification de la procédure d’évaluation des produits.
Pour les agriculteurs intervenants, dont Denis VELUT de la FNSEA, plusieurs filières ont d’ores et déjà intégré le biocontrôle dans leur stratégie de protection des cultures. Pour amplifier leur utilisation, ils ont toutefois souligné le fait qu’elles doivent être suffisamment efficaces.
Concernant les acteurs de l’aval, ils ont également indiqué le fait d’avoir intégré dans leurs cahiers des charges des recommandations relatives à l’utilisation du biocontrôle.