En outre, le journal souligne que les fruits et légumes restent les plus impactés par les retraits des produits phytosanitaires. En effet, « ces petites filières représentent de fait peu d’intérêt pour les firmes, parfois découragées par des dossiers d’inscription complexes et onéreux » précise le journal.
Christian DURLIN, vice-président de la Commission Environnement de la FNSEA, conclut en indiquant « Que [la France] défende une position à l’intérieur de l’UE, soit, mais qu’elle passe son temps à faire des cas d’école dans son pays, c’est se tirer une balle dans le pied ».
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